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13 août 2005

YOUSSOU N'DOUR

YOUSSOU N'DOUR

Youssou N'dour est né le 1er octobre 1959 à Dakar au Sénégal. Son père Elimane est ouvrier. Sa mère Ndèye Sokhna Mboup est griotte. Dès son plus jeune âge, il préfère la musique à ses études. Mais ses parents sont intraitables et désirent le voir réussir. Pourtant à onze ans, il décide d'intégrer la troupe théâtrale Sine Dramatique. Remarqué par un musicien du Dounia Orchestra, Pacheco, celui-ci le recommande auprès du Diamono et particulièrement de Charlie Diop. Il entre au sein du groupe et attend patiemment son heure de gloire. Le véritable déclic se produit alors qu'il n'a que treize ans. A l'occasion de la mort de Papa Semba Diop dit Mba, leader du Star Band de Dakar, le Super Diamono compose un morceau que le jeune Youssou, de sa voix si particulière, doit interpréter lors d'un concert de soutien à sa famille à Saint-Louis. C'est un véritable succès.

Après ce premier essai, le Diamono est invité à se produire à Banjul en Gambie. Ne prévenant pas son entourage, Youssou est considéré comme fugueur. A son retour, son père le sermonne et une véritable explication a lieu. Finissant par convaincre son père de sa vocation, Youssou intègre l'Institut des Arts de Dakar. Il y apprend entre autres le solfège.

En 75, Youssou N'dour rejoint un nouvel orchestre nouvellement engagé par un club réputé de la capitale, le Miami. En raison de son jeune âge, c'est le père qui négocie son contrat avec le maître des lieux, Ibra Cassé.

L'Etoile

Il y reste jusqu'en 79, date à laquelle il monte avec un autre chanteur, El Hadj Faye le groupe l'Etoile de Dakar, la direction d'orchestre étant réservée à Badou Ndiaye. Il démarre en trombe avec le tube "Xalis" (l'argent). En 81, les deux chanteurs ne s'entendant plus très bien, Youssou quitte le groupe et en reforme un autre, le Super Etoile. Tout lui réussit. Il est l'incontestable n°1 des hit-parades dans le genre mbalax. Comme les griots dont il descend, il chante la vie quotidienne, l'amitié, ou les fêtes religieuses. Mais sa grande réussite semble être l'invention d'une nouvelle danse qui fait fureur dans les clubs de la capitale sénégalaise, le "ventilateur". Le tout sur une musique mélangeant rythmes traditionnels et instruments modernes. Quelques tubes, "Wala walo", "Nadakaro" ou "Indépendance" sont la base de son succès. La production de ses albums (souvent distribués en cassette) se fait aux Editions Madingo.

Sa voix légèrement cassée, son autorité au sein de son groupe et son charisme grandissant font de Youssou, le nouvel ambassadeur de la musique sénégalaise. A l'âge de 24 ans, le jeune homme est déjà un homme d'affaire avisé, à la tête d'une véritable entreprise qui emploie musiciens, managers, secrétaires . Il est aussi propriétaire du Thiossane, le club où le groupe se produit quand il n'est pas en tournée. Enfin, il soigne son image, celle d'un bon musulman qui ne boit pas ni ne fume. Fils exemplaire, il vit avec ses parents dans le quartier de la Médina à Dakar, qui l'a vu grandir.

Si les pays de l'Afrique de l'Ouest accueillent la nouvelle star sénégalaise comme un des leurs, la tournée européenne qui débute en mai 84 semble plus difficile. Elle débute à Paris par l'Africa Fête, festival culturel africain qui pour une soirée accueille les pionniers de l'afro-rock, Osibisa et Youssou N'dour. Le 18 mai 84, ce dernier fait donc un triomphe non seulement devant ses compatriotes immigrés (qui avaient eu l'occasion de le voir à Paris dans un club quelques mois auparavant) mais aussi devant le public parisien. L'événement se passe à l'Espace Ballard et dure trois heures. La tournée se poursuit en Allemagne, en Angleterre, en Suède, en Finlande, en Norvège et en Suisse. En France, il prend contact avec le label Celluloïd et lui confie ses intérêts.

Tam-Tam

Revenu en Afrique, Youssou N'dour entreprend avec le Super Etoile une nouvelle tournée africaine, de la Mauritanie à la Côte d'Ivoire. Artiste ambitieux, il désire faire écouter sa musique et ses chants en wolof au plus grand nombre. Il retourne en France pour le Festival du Printemps de Bourges en 85, joue en première partie du chanteur Jacques Higelin avec le guinéen Mory Kanté dans l'immense salle de Bercy du 12 septembre au 12 octobre à Paris et revient dans la capitale française en décembre pour une semaine de concerts en vedette au Théâtre de la Ville. A cela doit s'ajouter sa participation au disque "Tam Tam pour l'Ethiopie", à l'initiative de Manu Dibango, pour le soutien à la lutte contre la famine dans ce pays. Le voilà donc sur tous les fronts musicaux ce qui ne peut que contribuer au développement de sa carrière internationale.

Après une nouvelle série de concerts à Paris au Théâtre de la ville en mars 86, "You", idole au Sénégal devient un véritable ambassadeur de la musique africaine et va défendre ses couleurs jusque de l'autre côté de l'Atlantique, aux Etats-Unis et au Canada, trois semaines durant. Le succès est à nouveau au rendez-vous et des journaux comme le magasine américain Time ne tarissent pas d'éloge devant la performance musicale et scénique du "showman".

Rencontré pour la première fois en 84, Peter Gabriel devient vite un ami de Youssou. Il l'embauche d'ailleurs pour faire la première partie de sa tournée américaine avec deux dates mémorables au Madison Square Garden de New York en 87. Sur la lancée, ils font le tour de l'Europe suivant le même principe.

C'est au cour d'un véritable périple mondial en 88 avec des stars comme Sting, Peter Gabriel, ou Tracy Chapman, que Youssou N'Dour accède à la cour des grands. Les concerts sont donnés au profit d'Amnesty International. Cette aventure dans laquelle il s'est engagé sans vraiment se rendre compte de l'impact, a métamorphosé son image, de gloire nationale, il devient vedette planétaire.

Le lion

Toujours aussi apprécié dans son pays, il entreprend une tournée qui rassemble 4000 spectateurs à Rufisque, 3000 à Rosso, 4000 à Kaolack ou Zinguichor; et quelques milliers à Nouakchott en Mauritanie. L'"Enfant chéri de la Médina" réussit à cette occasion à réunir quelques quarante techniciens et musiciens, accompagnés d'énormes camions transportant le matériel (alors que les routes ne sont pas toujours praticables). Youssou N'dour semble déterminé à montrer son professionnalisme malgré les difficultés de logistique.

En 1989, sort son premier disque pour le marché international. Signé chez Virgin, "The lion" ("Gaiendé" en wolof) est un album dont les coûts de production sont très importants. Si le mbalax est toujours le moteur essentiel de sa musique, il est accommodé ici de nappes de synthés, et d'arrangements sophistiqués dignes de studios de haute technologie. Peter Gabriel est invité pour un duo "Shakin' the tree", et joue les grands conseillers es-production. Si certains aficionados de "You", commencent à parler de dénaturation de sa musique, d'autres voient dans ce disque les débuts de la fusion africaine.

En même temps qu'une tournée européenne qui passe par Paris le 2 novembre 90 à l'Olympia, "Set" le deuxième album chez Virgin, sort en octobre (alors qu'il était sorti en décembre 89 sous forme de cassette au Sénégal). Si le Super Etoile de Dakar forme le noyau central des musiciens, quelques treize autres viennent s'y ajouter et introduisent ainsi des sonorités nouvelles (accordéon et violoncelle) même si l'instrument fétiche, le tama (petit tambour d'aisselles) reste la star des instruments. Sans changer d'optique par rapport au précédent album, Youssou donne là toute la mesure de son talent en révélant une richesse musicale considérable.

Si dans l'univers de la world music, les échos sont extrêmement favorables, les ventes de disques semblent insuffisantes pour le label Virgin qui en avril 91, décide de ne pas renouveler le contrat de Youssou N'Dour.

Spike

A l'occasion d'un show-hommage à Nelson Mandela à Dakar en 91, l'artiste invite Spike Lee, réalisateur noir-américain à venir y assister. Alors que Youssou est en rupture de maison de disques, ce dernier le contact un peu après pour produire un nouvel album. C'est "Eyes Open" qui sort au printemps 92. Enregistrés à Dakar avec son groupe et Jean-Philippe Rykiel dans un studio très moderne qui appartient à Youssou, les quatorze titres sont chantés en anglais, wolof et français. Les sections de cuivres et le mixage se font à New York. "Africa remembers" dédiée à la diaspora noire est la chanson qui est choisie pour être le support du clip de lancement, réalisé évidemment par Spike Lee.

En juillet de la même année, il reprend une tournée en France qui passe par le Bataclan à Paris les 15 et 16 octobre. Mais c'est l'année suivante, qu'il marque un grand coup en montant un spectacle véritablement créatif : en effet, le 17 juillet, à l'occasion du Festival Paris Quartier d'été, l'Opéra de Paris (Garnier) ouvre ses portes à Youssou N'Dour pour "Africa Opera" fresque autour de l'identité africaine avec la participation d'Angélique Kidjo, Aïcha Kone et Djanka Diabaté. Ce type de prestation est peu fréquent dans le temple de l'art lyrique et rend l'événement exceptionnel.

Neneh

De son propre aveu, Youssou estime que sa musique tarde à s'imposer à l'étranger. Pourtant avec le simple intitulé "Seven Seconds" chanté en duo avec Neneh Cherry mais sans consonance africaine, il se fait plus largement connaître du grand public, amateur généralement de musique anglo-saxonne. Véritable carton commercial à travers le monde (1.500.000 exemplaires vendus), le titre lui permet une percée dans le domaine de la variété internationale.

En 94, le nouvel album profite des retombées de "Seven seconds". Intitulé "Wommat" (Le Guide), il est vite classé dans les charts européens, preuve que la star sénégalaise a enfin conquis les marchés extra africains. On trouve une reprise de Bob Dylan, "Chimes of Freedom" et "Undicided", le simple remixé par le duo français Deep Forest. Youssou se veut ici le guide musical de ses aficionados dont le nombre grandit au fur et à mesure des tournées qu'il effectue régulièrement en Europe et en Afrique de l'Ouest.

Toujours entreprenant, le "Prince du Mbalax" s'aventure dans le monde traditionnel des griots africains (dont il est un descendant) et leurs rend hommage en chantant avec Yandé Codou Sène, grande personnalité de la scène sénégalaise sur un album "Voices of the Heart of Africa". Chansons traditionnelles et ballades sont au programme de ce disque magnifique, co-produit avec le label allemand, World Network en 96. Le 20 septembre, il décroche avec Papa Wemba, le prix du "meilleur artiste africain" des premiers Trophées de la musique africaine organisés en Afrique du Sud.

But !

En 97, les deux artistes s'associent pour le compte du Comité International de la Croix Rouge, avec d'autres musiciens africains pour une chanson "So why ?", composé par Wally Badarou et qui appelle à la réconciliation de l'Afrique.

Mais l'événement est sans conteste la participation artistique de Youssou N'dour à la Coupe du Monde 98 de football en France. Le titre "la Cour des grands" avec la chanteuse belge Axelle Red comme choriste exceptionnelle, est retenu comme hymne par Michel Platini, responsable de l'organisation de cette grande manifestation. Passionné de football et internationalement reconnu, Youssou N'dour élargit encore son image. Cette année-là, on l'entend également sur l'album d'Alan Stivell, "1 Duar". Mais si aucun nouvel album n'apparaît dans le paysage musical international, Youssou ne sort pas moins de quatre cassettes au cours de l'année 98.

Au printemps 99, il donne un concert exceptionnel sur la scène new-yorkaise du Hammerstein Ballroom au cours duquel Stevie Wonder fait une apparition mémorable.

Devenu star, chacun de ses disques est attendu avec beaucoup d'intérêt. C'est le cas de "Joko" (From Village to town) qui après de long mois de maturation voit enfin le jour en février 2000. Pour le marché international, Youssou déploie les grands moyens. Sur cet album, il y a Wyclef des Fugees qu'il a rencontré à Londres et qui a travaillé sur trois titres. Il y a aussi Peter Gabriel et Sting qui viennent apporter leur contribution en chantant sur un titre chacun. Finalement, la musique du chanteur sénégalais s'apparente à une pop de facture internationale, que celui-ci ne renie d'ailleurs pas du tout.

C'est cette double casquette de chanteur traditionnel et de chanteur international que Youssou N'Dour souhaite mettre en avant lors du Grand Bal qu'il donne à Paris Bercy le 21 octobre 2000. Il organise même la venue à Paris d'une partie de ses fans sénégalais. Composé de deux parties, le spectacle présente d'abord une série de duos de l'artiste avec des chanteurs aussi variés que Cesaria Evora, Zazie, Passi ou Peter Gabriel. Puis après une longue pause, c'est le moment du grand bal qui dure toute la nuit.

Chanteur et musicien remarquable, homme d'affaire avisé, la star sénégalaise multiplie les activités et semble vouloir occuper tous les terrains de la création musicale. S'il produit d'autres artistes comme Cheikh Lô, c'est pour favoriser le mouvement artistique africain, pour l'aider à le structurer et lui donner une chance de réussir le crossover. Vaste entreprise qui ne fait pas peur à l'"Enfant de la Médina" !

Février 2001, notre chanteur s'associe au HCR (Haut Commissariat des nations unies pour les Réfugiés) pour enregistrer un album dont les fonds financeront des projets dédiés à l'éducation d'enfants réfugiés. Ensemble, et avec le concours de musiciens dont la vie est marquée par l'exil et le déracinement, ils réalisent "Building Bridges".

Retour aux sources

En octobre 2002 sort l'album "Nothing's in Vain" qui rend hommage à sa terre sénégalaise et à sa langue natale, le wolof. Les instruments traditionnels ne sont pas oubliés dans cet opus feutré où l'on retrouve les sonorités de la kora, du balafon ou du xalam.

Néanmoins, le titre qui fait sensation et qui est l'objet du premier single est "So Many Men", un duo avec Pascal Obispo. Celui-ci est d'ailleurs le compositeur de deux autres titres sur cet album : "Africa dream Again" et "Joker". Autre clin d'oeil à la France : la reprise d'un titre de Georges Brassens, "Il n'y a pas d'amour heureux".

Une tournée européenne démarre le 31 octobre au festival des Docks du sud à Marseille et passe le 10 novembre par l'Olympia de Paris où il est rejoint sur scène par Pascal Obispo et Eric Serra, qu'il avait connu à ses débuts lors de ses premiers spectacles parisiens avec Jacques Higelin au palais omnisports de Paris Bercy.

Youssou N'Dour fête Noël, comme chaque année à Dakar, par un grand concert au stade Demba Diop. Toujours basé dans la capitale sénégalaise, le musicien a besoin de se ressourcer chaque fois qu'il le peut dans son pays d'origine, et de retrouver sa famille : sa femme Mamie Camara avec qui il est marié depuis 1990 et leurs quatre enfants.

En mars, il doit entreprendre une grande tournée nord-américaine qui est censée le mener dans 38 villes du 26 mars au 15 mai dans 38 villes, mais il  annonce le 7 mars l'annulation de celle-ci pour des raisons politiques liées à son désaccord avec les Etats-Unis sur la crise irakienne.

On retrouve Youssou N'Dour le 31 mai sur la scène du Palais Omnisports de Paris-Bercy. Le 9 août, c'est à Dakar qu'il recrée l'ambiance de la grande fête parisienne.

Islam de paix

Novembre 2003 voit la sortie sur le marché sénégalais d'une cassette intitulée "Sant Allah", composée de morceaux acoustiques et mystiques, éloignés de son répertoire habituel. Pour cela, il a fait appel à un orchestre égyptien et à l'arrangeur Fati Salama. Musulman soufi, le chanteur sénégalais prouve ainsi son attachement à ses racines, à la tradition spirituelle héritée de sa mère tidiane et de son père mouride, à l'enseignement des grands cheikhs marabout du Sénégal.

Le 22 mai 2004, Youssou N'Dour donne un grand bal à Paris-Bercy avec le Super Etoile. En même temps, sort sur le marché international le disque "Allah-Egypte", la version CD de "Sant Allah". Il joue ce nouveau répertoire au Festival des Musiques sacrées de Fès, au Maroc (28 mai-5 Juin), puis entame une longue tournée américaine.

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13 août 2005

Youssou N'dour 7 seconds Feat Neneh CherryBoul ma

Youssou N'dour7 seconds You got it Liste des chansons de Youssou N'dour So many men
7 seconds


Feat Neneh Cherry

Boul ma sene, boul ma guiss madi re nga fokni mane
Khamouma li neka thi sama souf ak thi guinaw
Beugouma kouma khol oaldine yaw li neka si yaw
mo ne si man, li ne si mane moye dilene diapale
Roughneck and rudeness,
We should be using, on the ones who practice wicked charms
For the sword and the stone
Bad to the bone
Battle is not over
Even when it's won
And when a child is born into this world
It has no concept
Of the tone the skin is living in
It's not a second
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting
It's not a second
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting
I'll be waiting
I'll be waiting
J'assume les raisons qui nous
poussent de changer tout,
J'aimerais qu'on oublie leur couleur pour qu'ils esperent
Beaucoup de sentiments de race qui font qu'ils desesperent
Je veux les portes grandements ouvertes,
Des amis pour parler de leur peine, de leur joie
Pour qu'ils leur filent des infos qui ne divisent pas
Changer
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting
It's not a second
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting
I'll be waiting
I'll be waiting
And when a child is born into this world
It has no concept
Of the tone the skin is living in
And there's a million voices
And there's a million voices
To tell you what she should be thinking
So you better sober up for just a second
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting
It's not a second
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting
It's not a second
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting

27 juin 2005

aiguille_midi2

27 juin 2005

haute_savoie

27 juin 2005

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8 juin 2005

ZIO

ZIO

8 juin 2005

Mondialisation

Nous parlons souvent de mondialisation d’échanges culturels. Et c’est nous les jeunes qui sommes bien souvent à la tête de ce concept.

Cependant, j’ai constaté un fait. Aussi paradoxale que cela paraisse, c’est encore nous qui empêchons cet échange culturel. Il suffit tout simplement de regarder autour de nous : nos manières de nous habiller, de marcher, de parler, les genres musicaux que nous aimons et pratiquons le plus proviennent tous des Etats-Unis d’Amérique. Est-ce à dire que dans nos différents pays il n’existe pas de styles particuliers ?

Il ne s’agit plus là de mondialisation mais de domination culturelle. En effet, les Etats-Unis d’Amérique ne prennent rien des autres pays mais imposent tout ce qu’ils ont comme cultures aux autres.

Mon objectif n’est pas d’accuser les Etats-Unis mais plutôt de nous amener (nous les jeunes des autres pays) à nous remettre en cause. En vérité, si nous les jeunes, le monde de demain, acceptons cette domination, nous finirons par ne plus avoir de valeurs culturelles.

Il faudrait savoir que le parfait est diviser et se trouve en dans chaque culture. C’est en associant les côtés positifs de chaque culture que nous finirons par construire un monde parfait.

Alors, à nous de jouer !!!!!!!!!!

J’attends vos commentaires.

Yves Zio

7 juin 2005

NOTRE MUSIQUE

Je constate que de moins en moins de jeunes veulent apprendre à jouer d'un instrument de musique. Selon moi, c'est ce qui fait que de moins en moins de jeunes font de la véritable musique.

Prenons le cas du rap qui est un genre musical (si on veut) où on a pas besoin d'avoir une belle voix, de chanter justeet pas forcement unbeau texte. Il suffit d'alligner des mots accompagnés d'un beat, parfois des refrains et l'affaire est gagnée.

Je ne veux pas dire par là que le rap n'est pas bon.Je veux tout simplement dire que si nos rappeurs prenaient le soin de prendre des cours de musique et d'apprendre à jouer d'un instrument,le rap serait véritablemen meilleur.

Prenons aussi le cas du RnB qui, à l'origine était un genre musical pour ceux qui avaient de belles voix, d'où le Rythme and Blues.Cependant, nous constatons qu’il est de plus en plus assimilé au rap parce que beaucoup d’entre nous ne connaissent pas sa véritable origine. Il ne suffit pas d’avoir un beat et de chanter sur ce beat. Il faut surtout avoir une belle voix et chanter juste. Et, ce serait encore plus intéressant si nos chanteurs apprenaient à jouer d’un instrument de musique.

En somme je veux dire que lorsqu’on sait jouer d’un instrument de musique, il est plus facile de chanter juste et de composer de belles mélodies et surtout d’harmoniser les compositions.

J’attends vos commentaires.

28 mai 2005

Sagesse

  • Ce que l'homme sobre a dans la tête, l'homme saoul l'a sur la langue.
  • Qui a été brûlé par un tison s'enfuit à la vue d'une luciole.
  • Ce n`est pas parce que lion a maigri qu`il est devenu un chat
  • Il est bon d'être célebre mais il est mieux d'être un homme respectable
28 mai 2005

Prise àson propre piège

Un couple marié est invité à un bal masqué. Juste au moment de partir, la femme est prise d'une violente migraine. Elle dit à son mari d'aller à la fête sans elle.

Le mari insiste mais la femme n'est vraiment pas bien avec son mal de tête, alors le mari enfile son déguisement et s'en va, alors que la femme prend une aspirine et va se coucher.

Après avoir dormi un peu, la femme se réveille en pleine forme et sans migraine. Elle décide d'aller rejoindre son mari à la fête. Comme elle est un peu soupçonneuse, elle se dit qu'elle va le surprendre en se déguisant avec un autre costume que celui qu'elle avait prévu.

Une fois arrivée à la fête, elle repère son mari: Il est en train de danser avec une fille, puis encore une autre, puis une autre encore, et toujours très collant.... Elle veut en savoir plus et voir jusqu'où il est capable d'aller.

Elle l'aborde (il ne la reconnaît pas) et l'invite à danser. Elle lui murmure à l'oreille qu'ils pourraient s'isoler un petit peu. Ce qu'ils font en allant directement faire l'amour dans une des pièces de la maison.L'affaire faite, la femme s'en va précipitamment et rentre chez elle.

Le mari rentre un peu plus tard. Des qu'il se couche :
- Alors cheri, comment était la fête?
- Ce n'était pas drôle sans toi chérie. Dis moi plutot comment tu vas, toi qui allait si mal?
- A merveille. Mais je ne te crois pas, je parie plutôt que tu as bien rigolé!
- Non je t'assure. Quand je suis arrivé, il n'y avait pas d'ambiance, alors quelques gars qui étaient là et moi, on a décidé d'aller jouer au poker dans la cuisine... Mais par contre, j'ai passé mon costume à un autre gars, et lui m'a dit qu'il s'était bien marré.

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